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  • Bon vivant, syndicaliste. Je suis dingue de ma femme et de mes enfants et de  mes petits enfants. Enfin en retraite!!! mais toujours dispos pour aider les autres. Fidèle en amitié et passionné par ce que je fais La mer me manque toujours!!!
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13 juillet 2015 1 13 /07 /juillet /2015 08:14

Tout commence par une visite sur les sites de cuisine, et après j’avise en fonction des placards.

Là, c’est facile :

500gr de farine,

Un sachet de levure de boulanger ou un cube,

Ne pas oublier de bien saler (ça c’est mon défaut)

6 cuillères à soupe d’huile d’olive, là on peut forcer moi j’ai trouvé léger.

De l’eau ni chaude ni froide,

Tout commence comme une pate à pain normale, avec l’huile d’olive en plus.

Je laisse le robot pétrir pendant (5 à 7 minutes)

Et je laisse doubler à minima cette boule de pâte à l’abri des regards et des courants d’ait sous un torchon.

Pendant ce temps je coupe la garniture :

Je fais de rondelles d’olive noir et verte sans noyaux (ou bien avec et là courage pour les défaire)

Je taille des petits morceaux de tomate séchées qui on bien trempées dans l’huile d’olive.

Je détaille la mozzarella en petits cubes.

Je coupe les lardons fumé ou pas,

Je jette un coup d’œil à mon pâton, et si c’est bien gonflé, je le prends à pleine mains et le travaille avec un peu de farine pour que ça ne colle pas aux doigts. Je fais deux petites boules que je travaille sur la table  pour obtenir une abaisse d’un centimètre d’épais de forme rectangulaire (mais là c’est vous qui voyez !) je fais des incisions dans la pâte que j’étire pour bien former la fougasse, comme sur les photos. (Avec la paume de la main)

Un peu de repos bien mérité après ce travail (pas pour moi, pour la pâte) pendant ce temps mon four chauffe 210°.

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J’enfonce dans la pâte les morceaux de tous ce que j’ai préparés, comme sur les photos.ne mettez la mozza trop près du bord, ça coule. N’hésitez pas à garnir, les miennes étaient un peu légère en garniture.

Armé de mon pinceau je badigeonne le tout d’huile d’olive, j’ai pris celle des tomates que j’avais préparées la semaine dernière, je sais, je triche mais c’est tellement mieux !!

Bon c’est ok pour mettre au four 15 minutes, pas plus, car c’est vite sec et dur.

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Et voilà, bon courage et bon appétit bande de gourmand !!!

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12 avril 2009 7 12 /04 /avril /2009 09:14


   Il faut dire que les souvenirs des cassoulets du dimanche soir, sur les bases de l’Aéro où j’étais de service, n’avaient pas pour ambitions de nous régaler les papilles. Ceux qui ont connu les cantines scolaires et autres restaurants universitaire doivent avoir la même impression que moi quant à la chose, et les regrets qu’on pourrait avoir sont de n’avoir jamais pu attraper l’ouvreur de boîtes.
   Ces plats d’automne et d’hiver sont passionnants à préparer, il faut faire plusieurs choses en mêmes temps, avoir l’œil au bon endroit et ne pas passer sa matinée au garage. L’odeur au bout d’un moment attire les curieux et quand je sors pour aller au pain les voisins me demandent régulièrement : ‘’c’est chez toi qu’on mange à midi ?’’ Quoi de plus agréable. Et les enfants (les miens cette foi) qui, lorsqu’ils se lèvent, viennent discrètement soulever le couvercle de la marmite et émettent des bruits qui en disent long sur leurs état d’âmes à cet instant. 
   Encore une fois je me suis inspiré des agissements d’autrui. En parcourant un de mes recueils de recettes je me suis lancé et j’ai adapté la préparation. N’ayant pas les produits régionaux sous la main je fais avec les moyens du bord et là : les bords sont larges.
   Dans ma cuisine c’est moi le patron, d’autant que j’y suis souvent seul. La solitude dans ces moments est bien agréable, elle permet quelques fantaisies qui, si l’on est accompagné, même de sa chérie, amènent questions et remarques qui des fois freinent nos élans, bien que des fois elle nous remet sur la bonne route.
   Bien maintenant c’est l’heure de passer aux choses sérieuses, donc si le cœur vous en dit, à vos tabliers !
   Les grains, il y a bien des races alors, selon les rayons du magasin où je me trouve à faire mes courses ce sera :   
   Des lingots, des Soissons (mes préférés) ou tout simplement des haricots blancs (plus petits mais bien sympa quand même) au moins 1 kilo.
   Les légumes, c’est pas dur 2 ou 3 belles carottes, 6 ou 7 tomates (à défaut une boites de pelées) 2 beaux oignons, quelques gousse d’ail en chemises et les aromates du jardin.
   La viande, c’est là que je me lâche. Pas de confit ? Je prends des pattes de canard. Pas de Toulouse ? je prends des saucisses de ménage, un beau gros morceau de poitrine de porc fraiche et un morceau de lard fumé.    Aujourd’hui nous sommes 4, mais bon s’il y a du passage on devrait pouvoir assurer. Vous êtes prêt ? Alors en route.
   Pendant que je blanchie les grains dans un grand faitout, je prends la plus grande de mes poêles où je mets à confire, à feu doux, dans un gros centimètre d’huile les pattes de canard, il faut qu’elles dorent comme il faut. S’il reste de la place (pas possible !) je fait la même chose avec les saucisses que je ne pique pas. Il y en a quand même pour une bonne demi-heure pour que la viande ait bien entamée sa cuisson.
   Les grains blanchis et égouttés vont se retrouver une fois encore dans le faitout là ils vont être largement couvert d’eau. J’ajoute un oignon entier piqué de clous de girofle, je laisse cuire à bon feu 1 heure au moins en vérifiant de temps en temps.
   C’est maintenant que le cassoulet pointe le bout de son nez. Quand les grains sont quasiment cuits, après avoir légèrement graissé le fond de la grosse marmite (celle que j’utilise pour le couscous) je sors les grains du jus de cuisson avec mon écumoire, pour les transférer dans la marmite, et là à feu doux mais pas trop, je mets les carottes, les tomates et un oignons piqué de clous de girofle les herbes du jardin et j’assaisonne attention au sel (souvent il en manque) Je mets la viande sous les grains. Là je mouille avec le jus de cuissons des grains (bien couvrir) si je manque je rajoute un peu d’eau chaude et là je prends patience, il faut que les grains ne soient pas trop fermes mais qu’ils ne virent pas en purée.
   Il y en à qui finissent la cuisson au four dans une coquelle en terre ou en fonte, moi j’en ai pas alors je cuisine dans ma grosse marmite et je mets mon feu tout doux après lui avoir fait prendre quelques gros bouillons. La durée de la cuisson à feu doux permets aux saveurs de se développer, alors patience encore une bonne heure au moins et hop à table.
   Pour ce qui est du vin je n’ai pas d’école, Cahors, Bordeaux sont toujours les bienvenues mais ils ne sont pas les seuls à faire sourire nos papilles car Bourgogne et Côte du Rhône un peu charnus font toujours de jolis clin d’œil au plats quels qu’ils soient.
   Je ne fais que rarement une entrée avec, car même une petite salade peu prendre une place importante dans la vie d’un cassoulet.
Bon appétit et à bientôt pour de nouvelles aventures culinaires.

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8 février 2009 7 08 /02 /février /2009 08:49

Les légumes sont d’importances donc faisons le choix :
2 ou 3 belles courgettes (je vide les grosses)
2 ou 3 aubergines pas trop grosse (les grains)
3 poivrons rouge et vert
2 beaux oignons
8 à 10 belles carottes
8 à 10 jolis navets ronds

Les pois chiches secs ou en boîte selon.
1 ou 2 poireaux à lier
1 kg de tomate ou une boite de tomates entières pelées.
Les herbes du jardin, les 3 clous de girofle, les graines de coriandre, etc…
L’ail et les piments oiseau pour la sauce forte
Le concentré de tomate pour le fond de sauce et la sauce forte
La harissa pour la sauce forte.
La viande c’est le goût:
Une poule (pour le bouillon) mais des cuisses de poulets font l’affaire.
1kg ou presque de bourguignon pas trop gras.
Du collier de mouton (c’est le plus goûtu) ou du plat de côte voir une épaule découpée.
Les merguez c’est selon les goûts.
Si vous connaissez une boucherie hallal c’est le top ?

Pendant que j’épluche les légumes je fais revenir la viande dans un peu d’huile d’olive et de tournesol pour adoucir.

Je coupe les oignons, une demi-courgette, aubergine, poivron, une carotte et un navet en petit morceaux pour les mettre à revenir avec la viande.
Le reste des légumes coupés en bâtonnets assez gros pour qu’ils ne disparaissent pas à la cuisson. Sauf les tomates que j’incorpore en même temps que la viande avant de mouiller.
Je sors la viande au fur et mesure quelle est dorée et je la réserve.
Je déglace avec un peu d’eau et une belle cuillère à soupe de concentré de tomate. Je laisse réduire 5, 10 minutes et je mets les légumes en remuant pour qu’il s’imprègne un peu du fond de sauce.
J’ajoute la viande et je mélange avant de couvrir d’eau.

Et voilà c’est parti pour 1 à 2 heures de cuisson à feu doux, après un bon gros bouillonnement de quelques minutes.

2 ou 3 belles gousses d’ail, quelques petits piments oiseaux que je pile dans un mortier ou dans un bol. Une cuillère à soupe de concentré de tomate et une de harissa. Je mélange et laisse macérer jusqu’à la prise de gout du bouillon soit satisfaisante. Je mélange jusqu'à l’obtention d’une belle émulsion puis je mouille jusqu’au piquant désirer et je laisse réduire un bon moment (plus c’est réduit plus ça pique !!!)

Je fais gonfler 1kg de semoule moyenne à l’eau tiède (je sale avant de mouiller)
Je verse dans le  torchon qui tapisse le couscoussier et je pose sur la cocotte. 20 à 30 mn plus tard je dépose la semoule sur la table et je l’égraine à la main dans un grand plat avant de la remettre à cuire sur la cocotte. Selon le comportement de celle-ci je le fais 2 fois.
Je goute et rectifie l’assaisonnement (le sel manque souvent)
Je cuis les merguez au barbecue ou à la poêle (là je dégraisse 2 fois)

Je débouche le Zidi Brahim ou le Petit Gris de Boulaouanne (rouge ou rosé)

Et voilà je dresse les viandes sur un plat long et creux les légumes et le bouillon dans un saladier et le couscous dans un plat creux.
Bon appétit.

La dernière fois nous étions 6 autour de la table et personne n'a manqué.

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1 février 2009 7 01 /02 /février /2009 09:55

Il suffit quelques fois d’un coup de chance.

Une erreur de commande de la poissonnière et hop au boulot !

Me voici donc à la tête de quelques 4 kilos de crabe vert dont personne en Bourgogne ne sait à quoi ça peut bien servir. Moi je sais !!

Donc j’en mets un kilo au congèle (vivant) pour de futures soupes de poissons.

 

Deux beaux oignons.

Quelques gousses d’ail.

Des épices courant.

Quelques belles carottes.

Un ou deux poireaux (entier)

Quelques patates.

Une boite de tomates pelées.

Une cuillère à soupe de concentré de tomates.

Le tiers d’un verre de calva ou cognac.

Deux verres de vin blanc.

 

Dans ma plus grande cocotte je mets à feu vif les oignons dans l’huile d’olive coupé avec de l’huile de tournesol pour que ce ne soit pas trop fort. Une fois les oignons colorés je jette les crabes dessus, attention à ne pas se faire pincer. Il faut que la cocotte soit suffisamment haute car les crabes ont tendance à se faire la belle. (Sans rire) il faut qu’ils soient bien rouges et l’odeur de mer soit bien présente avant de flamber. Le flambage doit être étouffé mais ne pas s’éteindre. Là je mouille avec le vin blanc et je laisse cuire 5 minutes avant de jeter les légumes et les tomates. Maintenant je mouille largement avec de l’eau, moi je fais grosso modo 9 à 10 litres de soupe. Il faut laisser cuire une bonne grosse heure. De toute façon on goute et on rectifie l’assaisonnement.

Comme quoi il n’y a rien de bien compliquer.

 

Le plus dur reste à faire …..

 

Il faut maintenant passer tout ça à la moulinette, au choix le presse purée ou le robot, moi je suis assez robot. Et je passe chaque bol dans le chinois où je presse jusque ce que la pâte de coquille soit sèche.

 

Maintenant à table et là, deux manières de procéder, moi j’aime les deux. A savoir :

  • Nature comme ceci, avec coutons frotter à l’ail, rouille et fromage râpé.
  • Ou bien crémer comme une bisque. Là il faut faire chauffer la bonne quantité dans une casserole et y ajouter une belle dose de crème fraîche (épaisse c’est mieux) et laissez chauffer quelques minutes à feu doux avant de servir.

Comme il y a toujours une belle quantité, j’en fais profiter les voisins et amis et s’il en reste je la congèle (sans crème) dans des bouteilles d’ 1.5 litre (c’est la dose pour 4 gourmands)

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